Librairie Le Feu Follet: Oeuvres d
found: 1442 books on 97 pages. This is page 1
- Next page

 
Il Ciarlatano. Costruzione n°70
s.d. (Circa 1890), 37 x 49 cm, une feuille. Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Deux déchirures en marge de droite avec atteinte à l'estampe, léger manque en marge de gauche, coins pliés. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - s.d. (Circa 1890), 37 x 49 cm, une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 35816
€  180.00 [Appr.: US$ 192.7 | £UK 154.25 | JP¥ 30489]

 
[CLUB ALPIN FRANÇAIS] Section de l'Isère. Taillefer, Trièves, Dévoluy, Vercors
Club alpin français, s.l. [Grenoble] 1886, In-8 oblong (27,5x21cm), relié. Edition originale, très rare, réalisée par le Club alpin français de l'Isère. Numéro d'ordre de l'exemplaire : N°55. Sur la page de titre, mention d'Album N°1. Il est probable que cette notion de permier album renvoie à un projet du Club alpin français pour chaque section, Dauphiné, Savoie, Haute Savoie, Vosges... Par contre, on trouve dans les catalogues de la Bibliothèque Nationale, d'autres albums notés numéro 1 de la section de l'Isère, mais qui sont intitulés ""Chartreuse"" et ""Grandes-Rousses, Sept-Laux, Belledonne"" ; ces deux autres albums contiennent également 50 photos comme le nôtre. Ces albums ont un caractère nettement artisanal et ne constituent pas une édition imprimée au sens classique, ils étaient réalisés par et pour le Club. On n'y trouve pas ailleurs aucun nom d'imprimeur. Le nombre d'exemplaire, de ce fait, étaient certainement très restreint, et destiné à quelques membres et institutions, et non au domaine public. Reliure en demi chagrin chocolat à coins d'époque. Dos à nerfs orné de 3 fers, titres dorés. Tranches rouges. Frottement coiffes, bordures et coins. Après quelques feuillets destinés aux descriptions des photos, 50 planches cartonnées montées sur onglets avec 50 photographies contrecollées (9,5x14cm), avec un numéro et une légende. Tampon en page de titre : Club alpin français, section de l'Isère, Grenoble. Le Club alpin français est fondé en 1874 avec un centre à Paris. Sa mission était de faire découvrir la montagne par la pratique et la connaissance, en promouvant des travaux scientifiques, l'alpinisme, les randonnées... Chaque section diffusera de nombreux périodiques. Le Club alpin deviendra fédération sportive en 1996. Les photographies prises cherchent à donner une représentation la plus fidèle possible de la montagne en Isère, avec des vues de sommets, gorges, cascades, ponts, tunnels, ermitages, routes, lacs... C'est une des premières missions photographiques sur la montagne. Tirages argentiques contrastés et en fort bel état. - Club alpin français, s.l. [Grenoble] 1886, In-8 oblong (27,5x21cm), relié. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 73172
€  2500.00 [Appr.: US$ 2676.45 | £UK 2142.25 | JP¥ 423461]

 
Construction pour enfants n°15 : le Puits de la ferme
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 26130
€  150.00 [Appr.: US$ 160.59 | £UK 128.75 | JP¥ 25408]

 
Construction n° 42 : Corbeille à ouvrage
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 26145
€  100.00 [Appr.: US$ 107.06 | £UK 85.75 | JP¥ 16938]

 
Construction n°16 : Voiture-Phaëton. Imagerie d'Epinal OLIVIER-PINOT
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1890), 29,5 x 40,5 cm, une feuille. Image d'Épinal, lithographie couleurs, moyen format, imprimée sur papier fort. Coins manquants, importantes déchirures en marges de droite et inférieure avec manque mais sans atteinte à l'estampe, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1890), 29,5 x 40,5 cm, une feuille. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 35353
€  60.00 [Appr.: US$ 64.23 | £UK 51.5 | JP¥ 10163]

 
Constructions pour enfant : Cassette n°22.
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 39 x 49 cm. Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Trois petites déchirures restaurées en marge (1 cm) sans aucune atteinte à la gravure, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 39 x 49 cm. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 25467
€  100.00 [Appr.: US$ 107.06 | £UK 85.75 | JP¥ 16938]

 
Constructions n°31 : Meubles & accessoires
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 39 x 49 cm. Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Une petite déchirure restaurée en marge (2 cm) sans aucune atteinte à la gravure, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 39 x 49 cm. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 26107
€  150.00 [Appr.: US$ 160.59 | £UK 128.75 | JP¥ 25408]

 
Constructions mécaniques n°49 : Scierie (ce sujet fonctionne au moyen du sable)
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Infimes manques marginaux sans aucune atteinte à la gravure, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 26114
€  150.00 [Appr.: US$ 160.59 | £UK 128.75 | JP¥ 25408]

 
Constructions n° 31 bis : Meubles & accessoires
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Une petite déchirure restaurée en marge gauche, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 26135
€  150.00 [Appr.: US$ 160.59 | £UK 128.75 | JP¥ 25408]

 
Constructions pour enfants n°9 : La messe au camp
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 26399
€  150.00 [Appr.: US$ 160.59 | £UK 128.75 | JP¥ 25408]

 
Constructions pour enfants n°16 : Moulin à vent
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Infimes déchirures en marge inférieure, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 26407
€  150.00 [Appr.: US$ 160.59 | £UK 128.75 | JP¥ 25408]

 
Constructions pour enfants n°23 : Petits meubles
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères rousseurs marginales sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 26655
€  150.00 [Appr.: US$ 160.59 | £UK 128.75 | JP¥ 25408]

 
Constructions mécaniques n°63, fonctionnant au moyen du sable : les Forgerons
Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères et marginales rousseurs, sinon bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les ""Grandes Constructions"" au format de 39 x 49 cm, les ""Moyennes Constructions"" et les ""Petites Constructions"". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou ""théâtre chez soi"" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Olivier-Pinot, Epinal s.d. (circa 1880-1900), 49 x 39 cm. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 26694
€  150.00 [Appr.: US$ 160.59 | £UK 128.75 | JP¥ 25408]

 
(SAINT-AUBIN Augustin de)
Les différents jeux des petits polissons de Paris
Aux bureaux de l'artiste, Paris 1887, 27,5x36cm, en feuilles sous chemise à lacets. Nouveau tirage des six planches gravées sur vergé par Duclos d'après la rarissime série dessinée et gravée au burin par Augustin de Saint-Aubin, inialement publiée vers 1770. Les 6 planches représentent les différents jeux auxquels s'adonnaient les jeunes enfants à Paris à la fin du XVIIIe siècle : le sabot, le coupe-tête, la fossette ou le jeu de noyaux, la toupie et la corde, la dernière planche illustrant la sortie du collège où l'on voit des enfants sauter, courir, danser. Notre série est présentée sous une chemise à lacets en plein chagrin rouge comportant quelques frottements sur les plats, coins émoussés, étiquette de rangement de bibliothèque encollée en pied du second plat, tampon imprimé de collection en pied du verso du premier plat. Rare. - Aux bureaux de l'artiste, Paris 1887, 27,5x36cm, en feuilles sous chemise à lacets. [ENGLISH TRANSLATION FOLLOWS] New print of six engraved plates on laid by Duclos following the extremely rare series drawn and engraved on copper by Auguste de Saint-Aubin, initially published in 1770. The 6 plates represent the different games played by young children in Paris at the end of the 18th century: la sabot (clog), la coupe-tête (leapfrog), la fossette or le jeu de noyaux (kernal game), la toupie (spinning top) or la corde (rope), the last plate illustrating the exit from school where we see children jumping, running and dancing. Our series is presented in a laced chemise in full red shagreen comprising some rubbing on the boards, flattened corners, a library shelving label glued at the foot of the second board, printed collection stamp at the foot of the verso of the first board. Rare.
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 73864
€  1200.00 [Appr.: US$ 1284.7 | £UK 1028.25 | JP¥ 203261]

 
[ECOLE NAPOLITAINE] Vue du Vésuve depuis la baie de Naples
Italie circa. 1825, 22,5x18cm, une feuille sous marie-louise. Estampe gommée originale représentant la baie de Naples donnant sur la silhouette bleutée du Vésuve. Dans le premier quart du XIXe siècle, les artistes napolitains réalisent des estampes résumant les étapes du ""Grand Tour"" d'Italie, voyage obligé de la noblesse européenne qui venait en Italie faire un pèlerinage artistique et bucolique auprès des grandes réalisations de la Renaissance, des panoramas urbains et des ravissants lacs de montagne lombards et piémontais. L'aristocratie européenne était donc friande de ces estampes de bonne qualité graphique rehaussée à leur demande de couleurs éclatantes, qui rassemblaient les hauts-lieux de l'architecture et de la campagne italienne. - Italie circa. 1825, 22,5x18cm, une feuille sous marie-louise. [ENGLISH DESCRIPTION ON DEMAND]
Librairie Le Feu FolletProfessional seller
Book number: 60205
€  250.00 [Appr.: US$ 267.65 | £UK 214.25 | JP¥ 42346]

| Pages: 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | - Next page